L'immobilier à Albi : le marché reste dynamique

La conjoncture reste bonne à Albi avec des prix stables en ville, et une forte augmentation du volume des ventes. La visibilité est cependant restreinte pour 2012. Avec +30 à +40 % de transactions enregistrées en 2011, mais des tarifs qui restent stables dans la ville, aucun doute, Albi a la cote ! « Nous sommes revenus à un niveau de prix d'avant crise et la reprise qui s'était amorcée chez nous depuis 2010 s'est confirmée en 2011 », analyse Me Christophe Mons, spécialiste de l'immobilier à la Chambre interdépartementale des notaires.
Albi profite à plein du classement Unesco de sa cité épiscopale

La conjoncture reste bonne à Albi avec des prix stables en ville, et une forte augmentation du volume des ventes. La visibilité est cependant restreinte pour 2012.

Avec +30 à +40 % de transactions enregistrées en 2011, mais des tarifs qui restent stables dans la ville, aucun doute, Albi a la cote ! « Nous sommes revenus à un niveau de prix d'avant crise et la reprise qui s'était amorcée chez nous depuis 2010 s'est confirmée en 2011 », analyse Me Christophe Mons, spécialiste de l'immobilier à la Chambre interdépartementale des notaires.

La ville bénéficie aussi de l'effet Unesco, galvanisée par le classement de sa cité épiscopale au patrimoine mondial de l'humanité. « Dans le cœur de ville, il y a un réel phénomène d'attrait. Nous voyons notamment pas mal d'investisseurs locaux ou de la région se positionner chez nous, mais le classement n'a pas fait flamber les prix qui restent stables entre 1.600 et 1.800 €/m2 », assure-t-il. En effet, le marché des petites surfaces du studio au T2 a été particulièrement dynamique ces derniers mois, à proximité de la cathédrale mais aussi de la faculté et dans l'axe sud de la ville qui mène à Toulouse.

Sur le marché de la maison individuelle, Albi dispose d'un habitat assez hétéroclite et l'amplitude des prix est importante. Néanmoins, dans les quartiers les plus recherchés par les familles comme le centre-ville à proximité du lycée Bellevue, ou la Maladrerie, les maisons (T4 et T5) s'affichent entre 180.000 et 200.000 €.
Seule exception dans les tendances du moment : le marché des terrains à bâtir dans Albi et la première couronne. « Ils ont connu une baisse de 2 à 3 % en 2011, mais ce segment avait tellement augmenté qu'il s'agit surtout d'un réajustement », pointe Christophe Mons. 73.000 €, c'est le prix moyen constaté pour une parcelle non viabilisée de 1.500 m2 dans le secteur.

Enfin, dans le palmarès des villes de l'agglomération, c'est Puygouzon qui tient la corde : c'est la ville la plus chère du département avec un prix moyen de vente de 238.400 €.

Béatrice Girard

photo © DR

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