Au moment du dépôt de plainte le 15 décembre 2014, Eugène Passerat dénonçait "une poignée d'hommes qui s'accaparent le Stade Toulousain, au détriment des intérêts de la société". Son avocat Laurent De Caunes affirmait : "un conflit d'intérêt existe depuis des années, se perpétue, et fait perdre au Stade des sommes considérables d'argent". Pour le tribunal de grande instance de Toulouse, aucune infraction n'a été constatée.