Une implantation qui pourrait profiter indirectement à Midi-Pyrénées, comme l'explique Jacques Rocca, porte-parole d'Airbus. "Lorsque des usines sont créées dans d'autres pays, ce n'est pas de la délocalisation, mais de la croissance, qui permet de conserver le cœur du dispositif à Toulouse", assure-t-il, soulignant l'effet de levier : chaque emploi créé aux États-Unis génèrerait quatre emplois en Europe.