D'après les élus, le projet Val Tolosa dans son dimensionnement actuel n'est plus adapté alors que "le contexte économique, social et environnemental a fortement évolué depuis sa conception il y a 15 ans". Dans le même temps, le Département, qui s'était engagé à déclasser la voie d'accès au chantier, risquerait un contentieux avec Unibail-Rodamco s'il décidait de ne pas tenir cet engagement. En conséquence, le groupe majoritaire, auquel s'associe George Méric, le président socialiste du Département, appelle le Premier ministre Manuel Valls et la ministre du Développement durable Ségolène Royal à reprendre la main et rétablir le dialogue entre les différents acteurs.