Après une expertise menée par les services de l'État, les établissements victimes de dégradations fin 2014et début 2015 devront donc faire appel à leurs assurances. À l'époque des faits, le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, avait exigé que l'État finance les réparations. Les manifestations s'étaient soldées par d'importants dégâts notamment sur les commerces du centre-ville.
"Les exactions commises sont en effet l'œuvre de groupes de 'casseurs' qui se sont volontairement attaqués aux commerces, justifie la préfecture de Haute-Garonne, et sont à ce titre dissociables de la manifestation".
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