Avec 100 autres parlementaires, elle demande à Manuel Valls de "renoncer instamment à ce projet futile. Ce poste de 'président délégué' ne servira que des intérêts particuliers et locaux..." La création de cette fonction avait été évoquée lors de l'accord passé entre le PS et le PRG dans le cadre des régionales en Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées. Elle avait provoqué durant l'été la polémique "loi Alary", du nom du président PS de Languedoc-Roussillon à qui serait destiné ce nouveau poste.