Parmi les 40 propositions du texte, le rapporteur souhaite notamment que 60 % d'une classe d'âge soient diplômés de l'enseignement supérieur, ce qui implique d'accueillir davantage d'étudiants des milieux modestes et des banlieues. Concernant le financement, le rapport ne croit pas à l'augmentation des frais d'inscriptions. Il préfère évoquer l'affectation d'un quart des budgets de la formation continue vers l'enseignement supérieur et demande que le crédit impôt recherche soit lié à l'embauche réelle d'un docteur.