"La Citaam (commission d'enquête technique des accidents des aéronefs militaires) confirme que les moteurs 1, 2 et 3 ont subi un gel de la puissance après le décollage et n'ont pas répondu aux tentatives entreprises par l'équipage pour contrôler normalement la puissance, tandis que le quatrième moteur a répondu normalement aux demandes de l'équipage", indique Airbus Defence and Space. Ces éléments sont basés sur l'exploitation des boîtes noires de l'appareil.